Dans
mon travail de thérapeute, j´utilise deux méthodes complémentaires : le
décodage biologique et le décodage énergétique.
-Le décodage biologique permet d´identifier
ou de trouver l´origine d´un conflit, qu´il soit d´ordre physique,
psychique ou mental (blocages divers, conduites répétitives, etc.).
Il se fait sur une
base théorique à partir de l´histoire du patient, parfois à partir de
l´histoire de ses parents ou de ses ancêtres. Il permet de classifier la cause
du problème.
Mais ce décodage
biologique seul n´est pas suffisant et l´exactitude des faits pas toujours
garantie.
En effet, les
souvenirs parfois lointains, souvent douloureux du patient s’accompagnent
fréquemment d’oublis, d’incertitudes, d’approximations.
De plus, chaque personne est
unique : sa biologie, son histoire sont uniques.
-Le
décodage énergétique permet alors d'accéder à la mémoire cellulaire de chaque
individu.
La lecture
énergétique du corps me permet de confirmer ou d´infirmer la première approche
théorique du décodage biologique.
Le corps humain
est un assemblage de cellules isolées ou groupées en tissus pour assurer
différentes fonctions. Elles émettent
des ondes électromagnétiques de très faible intensité. Grâce à ce rayonnement,
les cellules communiquent entre elles et envoient des informations sur leur
état énergétique.
Ainsi, le décodage
énergétique sur certaines zones du corps permet une lecture précise des
émotions, des sensations, des éléments du passé que notre subconscient a pris
soin de mettre de côté afin de nous éviter la souffrance ou des remises en
question auxquelles nous n'étions pas suffisamment préparés.
Ce passé peut être
simplement celui de notre petite enfance (comme un choc émotionnel, une
injustice, des exactions commises par une personne adulte), ou celui de nos
parents, grands-parents, arrière-grands-parents qui s’exprime à travers nous.
On peut remonter très loin puisque le temps - dans l'absolu - n'existe pas.
Quelques exemples
de cas que j´ai eu à traiter vous donneront une idée plus précise de mon
travail.